<\/aside>\n3. Cela pourrait arriver : Environ 4 000 rumeurs d’\u00e9change plus tard, Jakob Chychrun pourrait c\u00e9l\u00e9brer son 35e anniversaire en tant que capitaine des Coyotes.<\/p>\n
4. En ce moment m\u00eame, Ondrej Palat devrait faire des Devils une \u00e9quipe encore meilleure.<\/p>\n
5. Nu ? <\/em>J’attends toujours que l’Association des joueurs pr\u00e9sente son successeur \u00e0 Donald Fehr.<\/p>\n6. Il est grand temps d’applaudir le directeur g\u00e9n\u00e9ral de Vegas, Kelly McCrimmon, pour son excellent travail de r\u00e9habilitation des Golden Knights.<\/p>\n<\/aside>\n<\/aside>\n<\/aside>\n<\/aside>\n \nEXCLUSIF : UNE CONVERSATION AVEC LEAH HEXTALL (PARTIE 2)<\/h2>\n Leah Hextall, voix du play-by-play d’ESPN, s’est r\u00e9cemment entretenue avec notre Glenn Dreyfuss sur plusieurs sujets relatifs \u00e0 la NHL. Dans la deuxi\u00e8me partie de leur conversation, Hextall \u00e9voque le jeu de la Grande Ligue et le hockey professionnel f\u00e9minin.<\/em><\/p>\n Glenn Dreyfuss :<\/strong> La NHL a de belles histoires individuelles cette ann\u00e9e. <\/p>\n<\/aside>\n Leah Hextall :<\/strong> \u00a0\u00bb Je me sens tr\u00e8s privil\u00e9gi\u00e9e rien qu’en tant que fan de hockey, et encore plus en tant que diffuseur. J’ai grandi en regardant Wayne Gretzky, et je n’ai jamais pens\u00e9 que son record serait proche d’\u00eatre touch\u00e9 avec Ovechkin. Je viens d’annoncer le match de McDavid, qui a marqu\u00e9 cinq points, et il est hors du commun. J’ai l’impression que chaque ann\u00e9e, le jeu devient plus rapide.\u00a0\u00bb <\/p>\n<\/aside>\n<\/aside>\n<\/aside>\n GD : <\/strong>Comment voyez-vous l’\u00e9volution du football professionnel f\u00e9minin ? <\/p>\n<\/aside>\n LH :<\/strong> \u00ab\u00a0Je regarde ce que la WNBA a r\u00e9ussi \u00e0 faire, la notori\u00e9t\u00e9 des joueuses, les contrats de diffusion, les contrats de chaussures. Il y a une telle capacit\u00e9 dans le jeu f\u00e9minin pour avoir le m\u00eame succ\u00e8s. Cela me brise le c\u0153ur qu’il ne semble pas y avoir de traction \u00e0 ce sujet.\u00a0\u00bb<\/p>\n<\/aside>\n GD :<\/strong> Pourquoi pensez-vous que c’est le cas ? <\/p>\n<\/aside>\n<\/aside>\n LH :<\/strong> \u00ab\u00a0Le commissaire (Gary Bettman) a dit que tant qu’il y a une ligue pour les femmes, la NHL ne veut pas venir et \u00eatre \u00ab\u00a0la brute\u00a0\u00bb. Je peux comprendre cela, mais les propri\u00e9taires de la NHL doivent dire : \u00ab\u00a0Il est temps que les femmes aient une ligue\u00a0\u00bb, tout comme la WNBA, o\u00f9 ils (les propri\u00e9taires) investissent tous de l’argent. Les femmes se battent tellement pour avoir la possibilit\u00e9 de jouer et ont besoin d’une infrastructure durable comme celle de la NHL. Il faut de l’argent et des ressources, pour que ce ne soit pas seulement une ligue de trois ans qui disparaisse.\u00a0\u00bb<\/p>\n<\/aside>\n<\/aside>\n<\/aside>\n<\/aside>\n GD : <\/strong>Il semble qu’au sein du football f\u00e9minin, il y ait une incapacit\u00e9 \u00e0 parler d’une voix unifi\u00e9e.<\/p>\n LH :<\/strong> \u00ab\u00a0Je ne pense pas que ce soit une critique injuste, mais il s’agit de deux groupes qui sont extr\u00eamement passionn\u00e9s par le fait de trouver aux femmes un endroit appropri\u00e9 pour jouer, qui soit durable, et gr\u00e2ce auquel elles peuvent gagner leur vie. Je comprends que la PWHPA (Professional Women’s Hockey Players Association) dise : \u00ab\u00a0La NHL dit que tant qu’il y aura une ligue f\u00e9minine, elle ne s’impliquera pas\u00a0\u00bb. Mais vous ne pouvez pas demander \u00e0 la PHF (Premier Hockey Federation) de se retirer, car que se passera-t-il si la NHL ne vient pas ? <\/p>\n<\/aside>\n<\/aside>\n<\/aside>\n<\/aside>\n\u00ab\u00a0Je crois qu’il y a un moyen d’y arriver si les 32 propri\u00e9taires de la NHL disaient : ‘Il est temps d’avoir une ligue f\u00e9minine.’ Nous voulons cela pour les petites filles qui grandissent.\u00a0\u00bb<\/p>\n
\nLA PREMI\u00c8RE \u00c9QUIPE D’\u00c9TOILES DE LONG ISLAND AU MONDE<\/h2>\n Le plus grand historien du hockey de Long Island, Joltin’ Joe Dionisio, a suivi l’histoire de l’\u00e9quipe de Long Island.<\/em> la croissance des manieurs de b\u00e2tons dans les comt\u00e9s de Nassau et Suffolk. Cela l’a amen\u00e9 \u00e0 faire le constat suivant<\/em> X-Ray des meilleurs. Rappelez-vous, vous n’avez pas besoin d’\u00eatre un habitant de Long Island pour aimer les choix de Joltin’ Joe, m\u00eame si, historiquement parlant, il a eu raison 99 44\/100e pour cent du temps. Et si vous ne le croyez pas, demandez-lui !<\/em><\/p>\n<\/aside>\n<\/aside>\n<\/aside>\n<\/aside>\nL’ascension fulgurante de Tage Thompson m’am\u00e8ne \u00e0 m’interroger : pourrait-il devenir le meilleur produit de Long Island dans l’histoire de la NHL ?<\/p>\n
Pour quiconque pense \u00e0 tort que Ronkonkoma est un type de sushi – et non une gare ferroviaire LIRR – ce d\u00e9bat peut sembler insignifiant. Apr\u00e8s tout, il y a des tas de patineurs c\u00e9l\u00e8bres originaires de l’\u00c9tat de New York, comme Patrick Kane, Joey Mullen ou Dustin Brown. <\/p>\n<\/aside>\n<\/aside>\nMais pour mes compatriotes de Long Island, qui ont grandi en patinant sur les patinoires de Kings Park, Long Beach, New Hyde Park et Great Neck, le titre de \u00ab\u00a0plus grand joueur de NHL de Long Island\u00a0\u00bb est aussi v\u00e9n\u00e9r\u00e9 que le phare de Montauk Point.<\/p>\n<\/aside>\n<\/aside>\nPour r\u00e9soudre cet argument, j’ai compil\u00e9 mon top 10 des joueurs les plus notables n\u00e9s ou \u00e9lev\u00e9s sur l’\u00eele la plus surpeupl\u00e9e d’Am\u00e9rique. Cela explique pourquoi l’humoriste Alan King a dit de l’autoroute de Long Island qu’elle \u00e9tait \u00ab\u00a0le plus grand parking du monde\u00a0\u00bb.<\/p>\n<\/aside>\n<\/aside>\nBien s\u00fbr, Thompson est n\u00e9 en Arizona, mais le fils de l’entra\u00eeneur des Islanders en ligue mineure, Brent Thompson, a appris son m\u00e9tier avec les Long Island Royals et les P.A.L. Junior Islanders.<\/p>\n<\/aside>\n<\/aside>\n(Les mentions honorables vont \u00e0 Richie Hansen, le premier LIer \u00e0 jouer pour les Islanders, Kevin Labanc parce que, oui, Brooklyn est \u00e0 Long Island, Shane Pinto, les jumeaux Chris et Peter Ferraro et Erik Nystrom).<\/p>\n<\/aside>\n<\/aside>\n 10. Rob Scuderi, Kings<\/strong> – Deux fois vainqueur de la Coupe<\/p>\n 9. Val James, Sabres<\/strong> – Si l’on exclut le gardien d’urgence du MSG Joe Schaefer, James est devenu le premier habitant de Long Island \u00e0 atteindre la NHL en 1981. Il est \u00e9galement le premier Noir n\u00e9 aux \u00c9tats-Unis \u00e0 jouer dans la NHL.<\/p>\n<\/aside>\n<\/aside>\n 8. Keith Kinkaid, Devils<\/strong> – Gardien de but le plus victorieux de la LI, avec 70 victoires.<\/p>\n<\/aside>\n<\/aside>\n 7. Mike Komisarek, Canadiens<\/strong> – Le robuste joueur de fond a r\u00e9colt\u00e9 679 MPI en 551 matchs.<\/p>\n 6. Sonny Milano, Capitals<\/strong> – Co-star de la l\u00e9gendaire passe flip de Trevor Zegras.<\/p>\n 5. Chris Higgins, Canadiens<\/strong> – Trois fois 20 buts pour les Canadiens.<\/p>\n 4. Kyle Palmieri, Islanders<\/strong> -All-star de la NHL en 2019.<\/p>\n<\/aside>\n<\/aside>\n<\/aside>\n<\/aside>\n 3. Charlie McAvoy, Bruins<\/strong> – Deuxi\u00e8me \u00e9quipe d’\u00e9toiles de la NHL en 2022… et neveu de mon ancien co\u00e9quipier de hockey, Mike McAvoy.<\/p>\n 2. Tage Thompson, Sabres<\/strong> – Son explosion de 18 mois est un \u00e9chantillon trop petit, donc je ne suis pas pr\u00eat \u00e0 le placer au sommet de cette liste… pour le moment. Mais je pr\u00e9dis que lorsque nous \u00ab\u00a0jaugerons le Tage\u00a0\u00bb dans 20 ans, il surpassera M. Fox comme le plus grand joueur de Long Island. <\/u><\/p>\n<\/aside>\n<\/aside>\n1. Adam Fox, Rangers<\/strong> – Vainqueur du troph\u00e9e Norris \u00e0 l’\u00e2ge de 23 ans.<\/p>\n<\/aside>\n<\/aside>\n \nJE DIS JUSTE \u00c7A COMME \u00c7A<\/h2>\n * Sam Ersson ne faisait m\u00eame pas partie de la liste des trois gardiens de but des Flyers au camp d’entra\u00eenement, et maintenant, il est le meilleur gardien de but des Flyers. (4-0-0).<\/p>\n
* Pendant ce temps, Martin Jones \u00e9tait le troisi\u00e8me homme sur le tableau de profondeur des gardiens de Seattle au camp et pourrait \u00eatre le num\u00e9ro 1 si Phil Grubauer tourne mal.<\/p>\n<\/aside>\n<\/aside>\n* Cette saison \u00e9tait cens\u00e9e \u00eatre une \u00e9tape pour le gardien des Blue Jackets, Elvis Merzlikins. D\u00e9sol\u00e9, mais c’est un pas en arri\u00e8re. Et un grand pas en arri\u00e8re.<\/p>\n<\/aside>\n<\/aside>\n* En parlant de d\u00e9ceptions, Seth Jones n’a jamais \u00e9volu\u00e9 vers un troph\u00e9e Norris comme certains le pensaient. Peut-\u00eatre aurait-il mieux fait de rester une ann\u00e9e de plus dans les juniors avec Portland plut\u00f4t que de quitter les Winterhawks si t\u00f4t.<\/p>\n<\/aside>\n<\/aside>\n* C’est \u00e0 cette p\u00e9riode de l’ann\u00e9e que les Avs, champions en titre, devraient faire leurs premiers pas. Attendez-vous \u00e0 un jeu plus rapide et rappelez-vous ce que dit notre Gus Vic : \u00ab\u00a0Cela ne me choquerait pas de les revoir en finale de conf\u00e9rence.\u00a0\u00bb<\/p>\n<\/aside>\n<\/aside>\n* A en juger par la morsure du Kraken, Ron Francis doit recevoir de nombreux votes de GM de l’ann\u00e9e.<\/p>\n<\/aside>\n<\/aside>\n* Sergei Bobrovsky a r\u00e9alis\u00e9 une sacr\u00e9e saison en 2021-22, mais il n’est plus que l’ombre de ses performances de l’ann\u00e9e derni\u00e8re. Par cons\u00e9quent, c’est le moment pour Spencer Knight de se montrer \u00e0 la hauteur de ses premiers avis glorieux.<\/p>\n
* Le buteur de l’\u00e9quipe canadienne pour la m\u00e9daille d’or, Dylan Guenther, sera un sujet d’\u00e9tude fascinant d’ici \u00e0 la ligne d’arriv\u00e9e. L’ailier droit novice de l’Arizona a fait preuve d’un sens du but naturel et d’un talent haut de gamme. Le ciel est la limite pour cet as.<\/p>\n<\/aside>\n<\/aside>\n<\/aside>\n<\/aside>\n* Pardonnez la comparaison, mais Jack Hughes ressemble plus \u00e0 un Patrik Elias des temps modernes. Il n’y a jamais eu de meilleur attaquant des Devils que le rus\u00e9 Tch\u00e8que.<\/p>\n
* Le nouveau mot d’ordre de la NHL – avec \u00ab\u00a0structure\u00a0\u00bb et \u00ab\u00a0d\u00e9tail\u00a0\u00bb – est \u00ab\u00a0fondation\u00a0\u00bb. <\/p>\n
* Interrog\u00e9 sur le succ\u00e8s des Jets, le coach Rick Bowness a r\u00e9pondu : \u00ab\u00a0La chose la plus importante est la base.\u00a0\u00bb <\/p>\n<\/aside>\n<\/aside>\n<\/aside>\n<\/aside>\n* Il veut peut-\u00eatre dire qu’il a l’un des meilleurs gardiens de la ligue.<\/p>\n
* Au-del\u00e0 de l’\u00e9toile Jack Hughes, le New Jersey a d’autres atouts. Nico Hischier est tout aussi vif que Jumpin’ Jack.<\/p>\n
* Puis il y a Jesper Bratt, Dawson Mercer, Miles Wood, Yegor Sharangovich et juste derri\u00e8re, Ondrej Palat.<\/p>\n<\/aside>\n<\/aside>\n \nLES QUATRE MEILLEURS JOUEURS EUROP\u00c9ENS DE TOUS LES TEMPS<\/h2>\n L’historien Alan Greenberg a termin\u00e9 ses recherches. Voyez si vous \u00eates d’accord, et consultez les cinqui\u00e8me \u00e0 huiti\u00e8me meilleurs ici et les neuvi\u00e8me \u00e0 douzi\u00e8me meilleurs ici.<\/em><\/p>\n<\/aside>\n<\/aside>\n4. Teemu Selanne<\/strong> – Le \u00ab\u00a0Flash finlandais\u00a0\u00bb a marqu\u00e9 en moyenne plus d’un point par match au cours d’une carri\u00e8re de 22 ans et 1 451 matchs en NHL. Il a marqu\u00e9 76 buts en tant que recrue avec Winnipeg. Il a une Coupe Stanley \u00e0 son actif et quatre m\u00e9dailles olympiques et deux m\u00e9dailles de la Coupe du monde. <\/p>\n<\/aside>\n<\/aside>\n3. Niklas Lidstrom<\/strong> – Vingt saisons avec les Red Wings et 1 564 matchs de NHL. Quatre Coupes Stanley et fut le premier Europ\u00e9en \u00e0 \u00eatre capitaine d’un club vainqueur de la Coupe. Sept troph\u00e9es Norris et 12 fois membre des \u00e9toiles. Il n’y a pas mieux que \u00e7a. <\/p>\n<\/aside>\n<\/aside>\n2. Jaromir Jagr<\/strong> – Il m\u00e9rite une reconnaissance rien que pour sa long\u00e9vit\u00e9. Le plus grand nombre de matchs de NHL pour un joueur europ\u00e9en (1 733). Ses statistiques en NHL sont stup\u00e9fiantes. Il a notamment remport\u00e9 deux coupes Stanley, cinq titres de meilleur buteur de la LNH, un titre de joueur le plus utile et sept s\u00e9lections au sein de la premi\u00e8re \u00e9quipe d’\u00e9toiles. Il est le joueur europ\u00e9en qui a marqu\u00e9 le plus de points, et il est le deuxi\u00e8me meilleur marqueur de l’histoire de la NHL apr\u00e8s Wayne Gretzky. <\/p>\n<\/aside>\n<\/aside>\n1. Alex Ovechkin<\/strong> – C’est presque une \u00e9vidence. Lorsqu’il raccrochera les crampons, il sera probablement le meilleur buteur de l’histoire de la LNH. Il a une Coupe Stanley, un Troph\u00e9e Art Ross, huit Troph\u00e9es Rocket Richard, trois Troph\u00e9es Hart et huit premi\u00e8res nominations aux \u00e9toiles. Il a la qualit\u00e9 suppl\u00e9mentaire d’\u00eatre un (tr\u00e8s) gros frappeur, ce que l’on ne trouve pas normalement chez les meilleurs buteurs. Tout est dit. <\/p>\n<\/aside>\n<\/aside>\n<\/aside>\n<\/aside>\nNote d’Al Greenberg aux lecteurs :<\/em> Je suis s\u00fbr que <\/em>il y aura un d\u00e9saccord avec mes choix, alors je propose des mentions honorables \u00e0 certains autres grands d’Europe : Jarri Kurri, Peter Forsberg, Igor Larionov, Peter Stastny, Mats Sundin et Daniel Alfredsson, parmi tant d’autres.\u00a0\u00bb <\/p>\n \nGRANDE QUESTION :<\/strong> Les Rangers oseront-ils \u00e9changer le d\u00e9cevant Alexis Lafreni\u00e8re, ancien premier choix de la draft ?<\/p>\n<\/aside>\n<\/aside>\nGRANDE R\u00c9PONSE :<\/strong> Pas question ! D’une part, le haut commandement ne ferait pas bonne figure si l’aile gauche \u00e9tait d\u00e9plac\u00e9e, et d’autre part, le gamin pourrait encore devenir un grand gagnant. <\/p>\n<\/aside>\n<\/aside>\n \nLA TENDANCE DES PROSPECTS NCAA EST A LA BAISSE<\/h2>\n Le centre canadien de 18 ans Adam Fantilli domine la ligue NCAA, se classant deuxi\u00e8me pour les points par match avec 1,63. Mais il n’a pas \u00e9t\u00e9 \u00e0 la hauteur lors des championnats du monde juniors, compte tenu des attentes plac\u00e9es en lui.<\/p>\n<\/aside>\n<\/aside>\nL’attaquant de 6 pieds 2 \u00e9tait \u00e0 l’origine consid\u00e9r\u00e9 comme un deuxi\u00e8me choix dans la Draft de cette ann\u00e9e. Mais pas avec cinq points en sept matchs. <\/p>\n<\/aside>\n<\/aside>\nTout au long du tournoi, il a fait preuve de physicalit\u00e9 et d’une habilet\u00e9 de pointe avec le palet, mais il ne semblait pas \u00e0 sa place par rapport aux autres. Il sera toujours un choix de draft relativement \u00e9lev\u00e9, mais il n’est pas tout \u00e0 fait pr\u00eat pour la NHL \u00e0 l’heure actuelle.<\/p>\n<\/aside>\n<\/aside>\n \nC’\u00c9TAIT LA SEMAINE QUI \u00c9TAIT :<\/h2>\n LUNDI :<\/strong> Les Kings ressemblent \u00e0 une \u00e9quipe de playoffs avec une victoire 6-3 sur les Oil Cans. McDavid, un but et un moins-1.<\/p>\nMARDI : <\/strong>Les Devils battent les Canes – apparemment imbattables – 5-3 \u00e0 Raleigh. Sans Fred Andersen, souvent bless\u00e9, Carolina doit se pr\u00e9occuper de ses gardiens.<\/p>\n<\/aside>\n<\/aside>\n<\/aside>\nMERCREDI :<\/strong> La reconstruction des Flyers de John Tortorella prend forme plus rapidement que certains le pensaient. Demandez aux Caps, autrefois en vogue, qui ont \u00e9t\u00e9 gifl\u00e9s.<\/p>\nJEUDI :<\/strong> Les Kraken sans blague sont devenus de s\u00e9rieux pr\u00e9tendants \u00e0 la Coupe. La victoire 3-0 sur les Bruins, autrefois coriaces, \u00e0 Boston, en dit long.<\/p>\nVENDREDI :<\/strong> Jeu \u00e0 suivre : Jets \u00e0 Penguins. Winnipeg est pour de vrai, tandis que Pittsburgh est impossible \u00e0 cerner. Ce sera un match passionnant.<\/p>\n<\/aside>\n<\/aside>\n \nUN AUTEUR DE RENOM CHOISIT SES CINQ BUTS PR\u00c9F\u00c9R\u00c9S DE TOUS LES TEMPS<\/h2>\n L’auteur Jerry \u00ab\u00a0Red Light\u00a0\u00bb Hack s’y conna\u00eet en buts. Apr\u00e8s tout, au cours de sa longue carri\u00e8re, il en a encaiss\u00e9 des tonnes. Mais ici, il d\u00e9crit ses cinq buts pr\u00e9f\u00e9r\u00e9s de tous les temps. Voyez si vous \u00eates d’accord. Et si vous ne l’avez pas encore lu, procurez-vous un exemplaire de son superbe livre, <\/em>M\u00e9moires d’un inconnu du hockey. Vous allez adorer !<\/em><\/p>\n5.<\/strong> 18 mai 1971. Finale de la Coupe Stanley, septi\u00e8me match, entre les Canadiens de Montr\u00e9al et les Blackhawks de Chicago. Stade de Chicago. Dennis Hull et Danny O’Shea avaient marqu\u00e9 pour que Chicago m\u00e8ne 2-0. <\/p>\n<\/aside>\n<\/aside>\nJ’avais neuf ans et ma s\u0153ur Marlene (R.I.P.) m’a fait d\u00e9couvrir le hockey \u00e0 la t\u00e9l\u00e9vision cette ann\u00e9e-l\u00e0. Nous \u00e9tions partisans de Montr\u00e9al et consid\u00e9rions que la s\u00e9rie opposait le Canada aux \u00c9tats-Unis. <\/p>\n
Vers la fin de la deuxi\u00e8me p\u00e9riode, alors que nous \u00e9tions persuad\u00e9s que Montr\u00e9al ne parviendrait jamais \u00e0 combler le d\u00e9ficit, Jacques Lemaire a re\u00e7u une passe de Jacques Laperri\u00e8re (j’adorais ce nom) dans son propre camp et a remont\u00e9 la rondelle sur la glace. En traversant le centre, il a effectu\u00e9 un tir frapp\u00e9 et a marqu\u00e9 devant un Tony Esposito surpris. \u00c0 ce moment-l\u00e0, nous savions que les Canadiens pouvaient revenir et gagner, et ils l’ont fait. <\/p>\n<\/aside>\n<\/aside>\n4.<\/strong> 26 novembre 2005. Madison Square Garden, New York. C’est la premi\u00e8re saison o\u00f9 la fusillade est introduite pour d\u00e9partager les \u00e9quipes dans la LNH. Apr\u00e8s 13 s\u00e9ries de tirs au but, le d\u00e9fenseur Bryan Muir a marqu\u00e9 pour les Capitals de Washington sur Henrik Lundqvist au d\u00e9but de la 14e s\u00e9rie. Jason Strudwick, charg\u00e9 de maintenir les Rangers en vie, en a profit\u00e9 pour tromper Olaf Kolzig, le gardien des Capitals. Lorsque Matt Bradley a \u00e9t\u00e9 arr\u00eat\u00e9 par Lundqvist, il a pr\u00e9par\u00e9 le terrain pour l’\u00e9v\u00e9nement le plus improbable. <\/p>\nMarek Malik, un d\u00e9fenseur qui a marqu\u00e9 six buts pendant les trois ann\u00e9es o\u00f9 il a jou\u00e9 pour les Rangers, \u00e9tait le suivant. Lorsque votre place dans la s\u00e9ance de tirs au but se trouve derri\u00e8re Jason Strudwick, vous savez que personne dans le monde libre n’attend de vous que vous marquiez. <\/p>\n
Malik s’est approch\u00e9 de Kolzig, a laiss\u00e9 tomber le palet, a mis sa crosse entre ses jambes, a mis le palet sur son coup droit derri\u00e8re lui et a tir\u00e9 un tir en pleine lucarne sur un Kolzig stup\u00e9fait. C’est mon but pr\u00e9f\u00e9r\u00e9 de tous les temps en fusillade, et j’\u00e9tais un fan inconditionnel des Rangers pour cette nuit-l\u00e0. Malik a simplement regard\u00e9 la foule et a lev\u00e9 une main comme s’il avait marqu\u00e9 un millier de buts. La r\u00e9action des commentateurs est la cerise sur le g\u00e2teau. <\/p>\n
3. <\/strong>17 janvier 2008. Nationwide Arena, Columbus, Ohio. Alors que Columbus menait 3-2, Rick Nash a \u00e9cop\u00e9 d’une p\u00e9nalit\u00e9 pour b\u00e2ton \u00e9lev\u00e9, permettant aux Coyotes de Phoenix d’\u00e9galiser le score. <\/p>\nAvec moins de 30 secondes restantes dans la troisi\u00e8me p\u00e9riode, Mike Peca a pris possession du palet. Il l’a pass\u00e9 \u00e0 Nash, qui s’est retrouv\u00e9 face aux d\u00e9fenseurs des Coyotes Derek Morris et Keith Ballard. Apr\u00e8s avoir fait un \u00ab\u00a0double-dangle\u00a0\u00bb sur Morris, il a tordu Ballard en bretzel avant de le contourner. Le gardien de but de Phoenix, Mikael Tellqvist, a tendu la palette de son b\u00e2ton sur la glace pour \u00e9loigner le palet de Nash, mais celui-ci a rebondi et l’a touch\u00e9 au tibia. Nash s’est retourn\u00e9, a trouv\u00e9 le palet dans le couloir et l’a envoy\u00e9 dans le filet ouvert. <\/p>\n
Dans cette action, Nash a fait preuve d’une d\u00e9termination et d’une habilet\u00e9 in\u00e9gal\u00e9es. Chaque fois que je me sens vaincu, je me souviens de ce but et de l’attitude \u00ab\u00a0n’abandonne jamais\u00a0\u00bb de Nash. <\/p>\n
2.<\/strong> Le 30 avril 1994. Saddledome de Calgary. En tant que fan inconditionnel des Canucks de Vancouver depuis toujours, je suis oblig\u00e9 de classer ce but parmi mes pr\u00e9f\u00e9r\u00e9s. Lors des s\u00e9ries \u00e9liminatoires de 1994, mes Canucks bien-aim\u00e9s \u00e9taient men\u00e9s 3-1 par les Flames. Ils sont revenus pour \u00e9galiser la s\u00e9rie 3-3, les deux matchs s’\u00e9tant d\u00e9cid\u00e9s en prolongation. <\/p>\nLors du septi\u00e8me match, les Canucks et les Flames se sont \u00e0 nouveau rendus en prolongation. Rien n’est d\u00e9cid\u00e9 lors de la premi\u00e8re prolongation, mais le gardien de but des Canucks, Kirk McLean, r\u00e9alise probablement le plus grand arr\u00eat de l’histoire des Canucks. Il a priv\u00e9 Robert Reichel d’un arr\u00eat de type \u00ab\u00a0two-pad-stack\u00a0\u00bb qui a emp\u00each\u00e9 de justesse le palet de franchir la ligne de but et de maintenir les espoirs des Canucks en vie. Au cours de la deuxi\u00e8me prolongation, le d\u00e9fenseur des Canucks Jeff Brown re\u00e7oit une passe de Dave Babych sur sa propre ligne bleue et rep\u00e8re la superstar des Canucks Pavel Bure qui se dirige vers la zone de Calgary. Il fait une passe parfaite, et Bure se retrouve seul face au gardien des Flames, Mike Vernon. Gr\u00e2ce \u00e0 sa vitesse fulgurante, Bure prend Vernon \u00e0 contre-pied et s’\u00e9lance sur son coup droit, d\u00e9posant le palet sur le c\u00f4t\u00e9 ouvert.<\/p>\n
J’\u00e9tais dans un bar local avec environ 100 autres fans des Canucks. Lorsque Bure est entr\u00e9 en jeu lors de l’\u00e9chapp\u00e9e, nous nous sommes tous pr\u00e9cipit\u00e9s vers l’\u00e9cran. C’\u00e9tait un pur pand\u00e9monium pendant environ cinq minutes et la f\u00eate a dur\u00e9 tout le reste de la nuit. Je ne sais pas si j’ai jamais \u00e9t\u00e9 aussi heureux. <\/p>\n
1. <\/strong>28 septembre 1972. Palais des glaces Luzhniki, Moscou, URSS. \u00ab\u00a0Henderson a marqu\u00e9 pour le Canada !\u00a0\u00bb <\/p>\n \nQUI L’A DIT ?<\/strong> \u00ab\u00a0Je n’ai pas jou\u00e9 dans la LNH, car je voulais repartir gagnant.\u00a0\u00bb (R\u00c9PONSE CI-DESSOUS)<\/p>\n \nYAYS ET BOOS :<\/h2>\n VIVE TSN<\/strong> pour avoir diffus\u00e9 au moins 10 matchs de hockey de la NCAA en janvier, dont quatre matchs f\u00e9minins.<\/p>\nYAY POUR LES CANADIENS DE MONTREAL<\/strong> pour avoir mis \u00e0 la disposition de leurs joueurs un professeur de fran\u00e7ais pour ceux qui ont exprim\u00e9 le d\u00e9sir d’apprendre la langue.<\/p>\n \nCOMMENT LE MASTER-BLASTER A MIS LES DIABLES SUR LA CARTE (Partie 2)<\/h2>\n Larry Hirsch, l’annonceur original du play-by-play des Devils, \u00e9tait – c’est un euph\u00e9misme – \u00e9lectrisant. Ses \u00e9missions lui ont valu un large public, si large qu’un auteur-fan, Larry Berger, sugg\u00e8re qu’une banni\u00e8re Master Blaster orne le plafond du Rock. Voici pourquoi.<\/em><\/p>\nCela peut sembler fou. Depuis quand une \u00e9quipe l\u00e8ve-t-elle une banni\u00e8re pour Larry Hirsch, un ancien annonceur de play-by-play ?<\/p>\n
Mais c’est le 40e anniversaire des New Jersey Devils, et un pr\u00e9sentateur a contribu\u00e9 \u00e0 mettre les patineurs de Garden State sur la carte lors de la saison 1982-83. Il s’agit de Larry Hirsch, alias \u00ab\u00a0The Master Blaster\u00a0\u00bb.<\/p>\n
Larry Berger, un v\u00e9t\u00e9ran de la production vid\u00e9o de Chestnut Ridge, N.Y., se souvient de l’\u00e9poque o\u00f9 la voix suave de Hirsch sur la station de radio WMCA a donn\u00e9 vie \u00e0 la petite franchise avec vigueur et vitalit\u00e9.<\/p>\n
Berger est – et \u00e9tait – tellement passionn\u00e9 par le fait que les Devils honorent Hirsch qu’il a \u00e9crit un article dans le Bergen (New Jersey) record sur Larry et ses qualifications pour un tel honneur.<\/p>\n
\u00ab\u00a0Son exub\u00e9rance et le nombre de fois qu’il a annonc\u00e9 les matchs des Devils au milieu des ann\u00e9es 80, \u00e9crit Berger, lui ont valu le surnom de ‘Master Blaster’. \u00a0\u00bb <\/p>\n
Hirsch \u00e9tait tellement impliqu\u00e9 dans ses \u00e9missions qu’il s’est presque accidentellement tu\u00e9 en tombant d’une table alors qu’il annon\u00e7ait. Et je suppose que vous vous demandez ce qu’il faisait sur une table alors qu’une partie approchait de son apog\u00e9e. Dans ce cas, je vais le laisser vous dire ce qu’il a dit \u00e0 Matthew Blittner dans la belle histoire orale de ce dernier, Les inoubliables NJ Devils<\/em>.<\/p>\nLe match a eu lieu le 2 novembre 1985, au Meadowlands. Les Rangers m\u00e8nent 5-2 dans la troisi\u00e8me p\u00e9riode. Puis, les Devils se sont repris et ont \u00e9galis\u00e9 le match, 5-5, l’envoyant \u00e0 la session suppl\u00e9mentaire.<\/p>\n
Hirsch : \u00ab\u00a0En prolongation, ils ont l\u00e2ch\u00e9 le palet, et l’attaquant des Devils Peter McNab a donn\u00e9 le palet \u00e0 Mel Bridgman depuis le cercle droit. Bingo ! 6-5, fin du match ! \u00c0 ce moment-l\u00e0, j’\u00e9tais dans une telle mousse. J’\u00e9tais tellement au sommet quand j’ai annonc\u00e9 le but que j’ai grimp\u00e9 sur la table dans la tribune de presse. Mes mains \u00e9taient \u00e9tendues et je tapais du poing.<\/p>\n
\u00ab\u00a0C’\u00e9tait un moment de folie, mais c’\u00e9tait l’un de ces moments dans le hockey o\u00f9 vous laissez tout sortir. Et quand je suis rentr\u00e9 chez moi ce soir-l\u00e0, j’ai allum\u00e9 la t\u00e9l\u00e9 et le journaliste sportif Warner Wolf me montrait debout sur la table.\u00a0\u00bb<\/p>\n
Le fait est que Hirsch aurait pu se tuer, en tombant en arri\u00e8re et en se cognant la t\u00eate sur le sol en b\u00e9ton. Mais il a eu la chance que son ing\u00e9nieur Carl Infantino intervienne et attrape Larry par les jambes pour \u00e9viter un d\u00e9sastre.<\/p>\n
\u00ab\u00a0C’\u00e9tait tout simplement incroyable\u00a0\u00bb, se souvient Infantino. \u00ab\u00a0Mais c’\u00e9tait Larry. La passion \u00e9tait dans son jeu. Vous pouviez voir l’amour qu’il avait pour l’\u00e9quipe et le nombre croissant de fans. En fin de compte, Larry \u00e9tait un homme de spectacle. Il faisait en sorte que les gens appr\u00e9cient le jeu\u00a0\u00bb.<\/p>\n
Ajout\u00e9 Hirsch : \u00ab\u00a0Les fans l’ont aim\u00e9 parce que je suis devenu l’un des fans. Je faisais le play by play comme si je jouais le jeu moi-m\u00eame. Et dans ce cas, c’\u00e9tait l’une des rares fois dans ma vie o\u00f9 le temps s’est arr\u00eat\u00e9.\u00a0\u00bb<\/p>\n
Le syst\u00e8me nerveux de Hirsch n’a pas \u00e9t\u00e9 \u00e9pargn\u00e9. Un match effr\u00e9n\u00e9 entre les Devils et les Buffalo Sabres a failli lui co\u00fbter la vie. Au buzzer final, les auditeurs de la radio n’entendent que les g\u00e9missements de Larry : \u00ab\u00a0… je suis \u00e9puis\u00e9 !\u00a0\u00bb.<\/p>\n
Une fois, il a \u00e9t\u00e9 mis au d\u00e9fi par un annonceur visiteur, v\u00e9t\u00e9ran du play-by-play, qui s’opposait \u00e0 l’effusion de Hirsch, en particulier lors des \u00e9missions de stand-up. <\/p>\n
\u00ab\u00a0Le type s’est approch\u00e9 de moi et m’a demand\u00e9 si j’\u00e9tais debout pour chaque match et j’ai dit oui\u00a0\u00bb, a d\u00e9clar\u00e9 Hirsch. \u00ab\u00a0Eh bien, il a dit qu’il s’opposait \u00e0 ce que je sois mon personnage anim\u00e9.\u00a0\u00bb<\/p>\n
Plus tard, une conversation anim\u00e9e d’apr\u00e8s-match a eu lieu dans la salle de presse des Devils. Le critique de Larry a augment\u00e9 son QI (Quotient d’Insultes), et le Master Blaster lui a rendu son service avec enthousiasme.<\/p>\n
\u00ab\u00a0Je lui ai dit de d\u00e9gager de ma vue\u00a0\u00bb, se souvient Larry, \u00ab\u00a0et puis il s’est approch\u00e9 de moi, fl\u00e9chissant ses muscles pour s’engager – avant que des gens ne s’interposent entre nous. En 30 ans de diffusion, c’est la seule fois o\u00f9 j’ai failli en venir aux mains avec un play-by-player\u00a0\u00bb. (Il m’a dit plus tard qu’il \u00e9tait d\u00e9sol\u00e9 que toute cette confrontation ait eu lieu et qu’il n’en \u00e9tait pas fier).<\/p>\n
Pendant ce temps, l’admirateur de Hirsch Larry Berger envisage une banni\u00e8re au plafond avec une image du casque radio de Larry. Berger pense que ce serait une fa\u00e7on appropri\u00e9e d’honorer le Master Blaster. Aujourd’hui \u00e2g\u00e9 de 73 ans et r\u00e9sidant depuis longtemps \u00e0 Tampa Bay, Hirsch a \u00e9t\u00e9 invit\u00e9 \u00e0 prendre la parole lors d’une prochaine r\u00e9union du Devils Fan Club. Une question qui lui sera certainement pos\u00e9e sera sa r\u00e9action \u00e0 l’id\u00e9e de Larry Berger de hisser une banni\u00e8re.<\/p>\n
\u00ab\u00a0L’histoire de la franchise ne peut \u00eatre racont\u00e9e de mani\u00e8re compl\u00e8te et pr\u00e9cise sans la contribution de l’un de ses pionniers et des figures les plus importantes de ses ann\u00e9es de formation\u00a0\u00bb, a d\u00e9clar\u00e9 Berger.<\/p>\n
\u00ab\u00a0Hirsch a donn\u00e9 vie \u00e0 des personnages comme Merlin Malinowski et Tapio Levo \u00e0 travers des descriptions vivantes et color\u00e9es. Oh, cette voix. C’\u00e9tait un hurleur, mais pas un homer. Sa fa\u00e7on d’annoncer les matchs \u00e9tait contagieuse.\u00a0\u00bb<\/p>\n
Puis, une pause et un dernier souvenir : \u00ab\u00a0Oh, cette voix !\u00a0\u00bb <\/p>\n
(Partie 3, lundi. Hirsch Picore ses cinq annonceurs pr\u00e9f\u00e9r\u00e9s de tous les temps et ce que c’\u00e9tait de diffuser les matchs des Barons de Cleveland de la NHL).<\/p>\n
\nR\u00c9PONSE \u00c0 QUI L’A DIT ?<\/strong> Le capitaine de l’\u00e9quipe am\u00e9ricaine Mike Eruzione, m\u00e9daill\u00e9 d’or, a d\u00e9cid\u00e9 de ne pas rejoindre nombre de ses co\u00e9quipiers des Jeux olympiques de 1980 en NHL.<\/p>\n<\/div>\n","protected":false},"excerpt":{"rendered":"SIX POINTS : 1. La r\u00e9ponse de la LNH \u00e0 \u00ab\u00a0It’s A Wonderful Life\u00a0\u00bb serait qu’aucun entra\u00eeneur ne soit licenci\u00e9 cette saison. 2. La r\u00e9ponse de la LNH \u00e0 \u00ab\u00a0It’s NOT A Wonderful Life\u00a0\u00bb serait Connor McDavid en t\u00eate dans toutes les cat\u00e9gories de points imaginables, mais Edmonton manquerait les s\u00e9ries \u00e9liminatoires. 3. Cela pourrait …<\/p>\n","protected":false},"author":1,"featured_media":20424,"comment_status":"closed","ping_status":"","sticky":false,"template":"","format":"standard","meta":{"footnotes":""},"categories":[20],"tags":[],"_links":{"self":[{"href":"https:\/\/www.sportpedia.ca\/wp-json\/wp\/v2\/posts\/20423"}],"collection":[{"href":"https:\/\/www.sportpedia.ca\/wp-json\/wp\/v2\/posts"}],"about":[{"href":"https:\/\/www.sportpedia.ca\/wp-json\/wp\/v2\/types\/post"}],"author":[{"embeddable":true,"href":"https:\/\/www.sportpedia.ca\/wp-json\/wp\/v2\/users\/1"}],"replies":[{"embeddable":true,"href":"https:\/\/www.sportpedia.ca\/wp-json\/wp\/v2\/comments?post=20423"}],"version-history":[{"count":1,"href":"https:\/\/www.sportpedia.ca\/wp-json\/wp\/v2\/posts\/20423\/revisions"}],"predecessor-version":[{"id":20425,"href":"https:\/\/www.sportpedia.ca\/wp-json\/wp\/v2\/posts\/20423\/revisions\/20425"}],"wp:featuredmedia":[{"embeddable":true,"href":"https:\/\/www.sportpedia.ca\/wp-json\/wp\/v2\/media\/20424"}],"wp:attachment":[{"href":"https:\/\/www.sportpedia.ca\/wp-json\/wp\/v2\/media?parent=20423"}],"wp:term":[{"taxonomy":"category","embeddable":true,"href":"https:\/\/www.sportpedia.ca\/wp-json\/wp\/v2\/categories?post=20423"},{"taxonomy":"post_tag","embeddable":true,"href":"https:\/\/www.sportpedia.ca\/wp-json\/wp\/v2\/tags?post=20423"}],"curies":[{"name":"wp","href":"https:\/\/api.w.org\/{rel}","templated":true}]}}